Ou comment Mountain View vient d’enterrer quinze ans de SEO en trois phrases de Liz Reid
Octobre 2025. Liz Reid, Vice-Présidente de la recherche chez Google, prononce la phrase qui a fait vibrer tous les MacBook des salles de rédaction SEO : « Nous avons élargi notre définition du spam pour inclure les contenus qui répètent ce qui est déjà bien connu, sans apporter de perspective unique. »
Attendez, laissez-moi vérifier quelque chose. [Fait semblant de consulter un calendrier] Non, on est bien en 2025. Pas en 1995, quand cette évidence cosmique aurait pu être énoncée. En 2025. Après quinze ans de Google nous suppliant de produire du « contenu de qualité » tout en récompensant systématiquement les sites qui crachaient 500 articles par jour bourrés de mots-clés.
Je devrais être ravi, n’est-ce pas ? En tant que consultant SEO qui prêche depuis des années qu’il faut « écrire pour les humains, pas pour les robots », je devrais danser la carmagnole. Sauf que voilà : pendant que je disais ça à mes clients (qui me regardaient avec pitié), mes concurrents les moins scrupuleux remplissaient des landing pages avec « meilleur plombier Paris 15 » répété 47 fois et raflaient la mise.
Et maintenant, maintenant, Google découvre que les gens préfèrent lire des humains plutôt que des agrégateurs de mots-clés sans âme.
Bravo. Formidable. J’applaudis debout. Vraiment.
Bon, maintenant qu’on a fini avec l’ironie facile (enfin, presque), parlons sérieusement. Parce que derrière cette déclaration qui ressemble à une blague, se cache en réalité un séisme géologique pour toute l’industrie du SEO. Un de ces changements dont on dira dans dix ans : « Tout a basculé ce jour-là. »
Les Quinze Glorieuses du Bullshit à l’Échelle Industrielle
Pour comprendre la portée de ce revirement, il faut se rappeler comment on en est arrivés là. Remontons le temps, voulez-vous ?
2010-2015 : L’âge d’or des fermes de contenu
À cette époque bénie, la recette du succès SEO tenait en trois mots : volume, volume, volume. Des sites comme Demand Media ou Suite101 produisaient des milliers d’articles par jour. Le sujet ? N’importe quoi. La qualité ? Optionnelle. Le but ? Ranker sur Google et encaisser les revenus publicitaires.
J’ai gardé précieusement un exemple de cette époque (pour montrer à mes enfants à quoi ressemblait l’enfer informationnel) : un article de 300 mots intitulé « Comment faire bouillir de l’eau ». Non, ce n’est pas une blague. Quelqu’un a été payé pour écrire : « Pour faire bouillir de l’eau, mettez de l’eau dans une casserole. Placez la casserole sur le feu. Attendez que l’eau bouille. » Et Google classait ça en première page.
2015-2020 : La sophistication de l’inutile
Google déploie Panda, Penguin, et autres animaux du zoo algorithmique pour « combattre le contenu de faible qualité ». Résultat ? Les SEO s’adaptent. Au lieu d’écrire 300 mots débiles, on écrit 2000 mots débiles, mais mieux formatés. Avec des listes à puces. Des H2. Des images d’illustration (de stock, évidemment). Des schémas récapitulatifs inutiles.
L’ère du « content marketing » débute : produire du contenu « de qualité » qui n’apporte strictement rien mais respecte toutes les bonnes pratiques SEO. Des articles intitulés « Le guide ultime de la cuisson des pâtes : 43 conseils d’experts » où les 43 conseils se résument à : faites bouillir l’eau salée, mettez les pâtes, attendez.
Je me souviens d’un brief client (authentique) : « On veut un article de 1500 mots sur les avantages du café, avec ‘café’ mentionné 15 fois, ‘bienfaits du café’ 8 fois, et trois backlinks vers notre boutique. Mais attention : ça doit avoir l’air naturel. »
Naturel comme une perruque en polystyrène, oui.
2020-2024 : L’IA entre dans le game
Et puis arrive ChatGPT. Le rêve ultime : automatiser l’inutile à l’échelle industrielle. Pourquoi payer des rédacteurs médiocres quand une IA peut produire du médiocre gratuit ?
Les fermes de contenu deviennent des méga-fermes de contenu. Des sites qui publient 100 articles par jour, tous générés par IA, tous optimisés SEO, tous parfaitement creux. L’équivalent numérique de la malbouffe : techniquement comestible, mais nutritionnellement vide.
Le Web devient une gigantesque photocopieuse : chaque requête génère 500 versions différentes du même article insipide, reformulé par des IA qui ont toutes lu les mêmes sources. « 10 astuces pour perdre du poids », « 12 conseils pour maigrir rapidement », « 8 secrets de perte de poids »… Même contenu, emballage différent.
Et Google ? Google ranke tout ça. Parce que techniquement, ces contenus respectent les guidelines. Ils ont des mots-clés, des backlinks, une bonne structure HTML. Ce ne sont pas des humains, mais ce sont de bons robots.
Le Virage à 180° (Qu’on Aurait Dû Prendre il y a Dix Ans)
Et voilà qu’en octobre 2025, Liz Reid monte sur scène et lâche sa bombe sémantique : Google ne veut plus de « contenu dérivé », de « spam informationnel », de ces articles qui « répètent l’évident sans perspective unique ».
Dans son interview au Wall Street Journal, elle précise : « Le contenu qui obtient des clics dans nos AI Overviews est plus riche, plus profond, avec une perspective unique. Les utilisateurs cherchent de l’expertise humaine, pas une énième reformulation de ce qu’ils savent déjà. »
Traduction : pendant quinze ans, on vous a demandé de gaver nos serveurs. Maintenant, on aimerait que vous arrêtiez.
Le August 2025 Spam Update – qui a fait chuter le trafic de milliers de sites du jour au lendemain – concrétise cette vision. Google ne pénalise plus seulement le « vrai » spam (liens artificiels, cloaking, keyword stuffing). Il pénalise désormais tout contenu « sans valeur ajoutée ».
Et par « sans valeur ajoutée », Google entend : « Si ChatGPT peut l’écrire en 30 secondes sans recherche préalable, ce n’est pas du contenu, c’est du remplissage. »
Vous entendez ce bruit ? C’est le son de 10 000 agences SEO qui mettent leur CV à jour.
Pourquoi Maintenant ? (Spoiler : L’IA a Tout Changé)
Certains diront : « Mais Google prêche la qualité depuis des années ! » Oui. Et certains gouvernements prêchent la lutte contre la corruption tout en détournant les fonds publics. Les paroles, c’est bien. Les actes, c’est mieux.
Alors pourquoi ce virage brutal maintenant ?
Deux raisons. Une officielle, une officieuse.
La raison officielle : l’expérience utilisateur
Avec l’explosion du contenu IA (qui a triplé en un an), Google s’est retrouvé avec un problème qualité majeur. Les utilisateurs tapent une requête, obtiennent 10 résultats quasi-identiques générés par IA, et vont chercher ailleurs – sur Reddit, sur TikTok, sur ChatGPT directement.
Une étude interne (fuitage anonyme sur Search Engine Land) aurait montré que 34% des utilisateurs de 18-34 ans utilisent désormais ChatGPT pour leurs recherches informationnelles, avant d’aller sur Google. Aïe. Quand ton propre public commence à te contourner, il est temps de bouger.
La raison officieuse : l’AI Overview change tout
Avec l’AI Overview (ces réponses générées automatiquement en haut des résultats), Google n’a plus besoin de sites qui reformulent l’évident. Il peut le faire lui-même, merci bien.
Ce dont il a besoin maintenant, ce sont des sources originales, des contenus avec une vraie expertise, des perspectives uniques qu’il peut utiliser pour alimenter ses IA. Des contenus qu’il ne peut pas générer lui-même.
En clair : Google n’a plus besoin de relais. Il veut des sources primaires.
Les fermes de contenu qui reformulaient ? Obsolètes. Google fait ça mieux. Les agrégateurs qui compilaient ? Inutiles. Google agrège tout seul. Ce qui reste ? Les experts qui apportent une vraie valeur. Les journalistes qui enquêtent. Les créateurs qui ont une perspective unique.
Le reste, c’est du spam.
Le Massacre des Innocents (et des Moins Innocents)
Les effets de l’August 2025 Spam Update ont été brutaux. Des sites entiers ont perdu 70-90% de leur trafic du jour au lendemain. Pas des petits sites obscurs – des acteurs établis avec des millions de visiteurs mensuels.
Les victimes :
- Les fermes IA à grande échelle : Sites qui publiaient 50+ articles/jour générés automatiquement. Certains ont vu leur trafic divisé par 10 en deux semaines. L’exemple le plus spectaculaire : un site de « conseils lifestyle » (vous savez, ces sites où chaque article commence par « Dans le monde d’aujourd’hui… ») qui est passé de 4 millions à 400 000 visiteurs mensuels. Leur PDG a posté sur LinkedIn un message pathétique : « Google nous a tués sans raison. » La raison ? Zéro perspective originale sur 8 000 articles.
- Les agrégateurs de comparaisons : Ces sites qui compilaient des listes « Meilleur X pour Y » sans jamais tester quoi que ce soit, juste en reformulant les specs des fabricants. Google a décidé qu’il pouvait faire ça tout seul (et mieux, d’ailleurs).
- Les sites « d’expertise bidon » : Ces plateformes qui affichaient « Rédigé par Dr. Machin, expert en bidule » alors que Dr. Machin n’existait pas et que le contenu était écrit par une IA nourrie au Wikipedia. Google a développé des moyens de détecter l’expertise réelle. Si votre « expert » n’a aucune trace en ligne hors de votre site, bonne chance.
Les survivants (voire les gagnants) :
- Les vrais experts avec perspective : Sites où les auteurs ont une vraie expertise vérifiable, apportent des anecdotes personnelles, des cas pratiques originaux. Marie Haynes (SEO réputée) a vu son trafic augmenter de 40% post-update. Sa recette ? Quinze ans d’expertise documentée, des études de cas détaillées, zéro contenu générique.
- Les médias d’investigation : Sites qui font de vrais reportages, avec sources vérifiées et perspectives uniques. Même les petits médias – s’ils ont une vraie ligne éditoriale – ont bénéficié du nettoyage.
- Les créateurs de niche : Blogs personnels d’experts qui écrivent 2 articles par mois, mais avec une vraie valeur. Le blog d’un vétérinaire qui raconte ses cas concrets a pris 60% de trafic en plus. Pourquoi ? Parce qu’aucune IA ne peut raconter comment il a sauvé un chat coincé dans un moteur de voiture à 3h du matin.
Quinze Ans de SEO à la Poubelle (et c’est tant mieux)
Vous voulez savoir le plus beau ? Tous les conseils qu’on donnait – nous, consultants SEO – pour « optimiser le référencement » sont désormais obsolètes. Ou plutôt : ils sont enfin inutiles.
Ce qui ne marche plus :
- Densité de mots-clés : « Répétez votre mot-clé principal 3-5 fois pour 1000 mots. » Google s’en fiche. Il comprend le contexte sémantique.
- Longueur minimum : « Un article doit faire au moins 1500 mots. » Faux. Un article doit dire ce qu’il a à dire. Point. J’ai vu des articles de 500 mots ranker devant des pavés de 3000 mots, juste parce qu’ils étaient utiles.
- Optimisation technique à outrance : Schémas markup, rich snippets, données structurées… Toujours utiles, mais plus suffisants. Si le contenu est vide, vous aurez le plus beau snippet du cimetière.
- Volume de publication : « Publiez régulièrement pour signaler à Google que votre site est actif. » Résultat : des sites qui publiaient quotidiennement pour « rester actifs » ont été massacrés. Google préfère désormais un article par mois qui apporte vraiment quelque chose.
Ce qui marche maintenant :
- Avoir vraiment quelque chose à dire : Revolutionary concept, je sais.
- L’expertise vérifiable : Google vérifie si vous êtes vraiment expert. Publications, mentions dans d’autres médias, historique. Votre bio LinkedIn compte désormais pour votre SEO.
- L’expérience personnelle : « J’ai testé », « Dans ma pratique », « Quand j’ai fait face à ce problème ». Les anecdotes personnelles sont devenues de l’or SEO. Parce qu’une IA ne peut pas les inventer (enfin, pas de façon crédible).
- La perspective unique : Ne pas écrire « comment faire des crêpes » si 500 sites l’ont déjà fait. Mais écrire « Pourquoi mes crêpes rataient systématiquement jusqu’à ce que je comprenne cette erreur fondamentale » – ça, c’est intéressant.
En résumé : Google veut qu’on fasse du journalisme. Du vrai. Avec recherche, expertise, perspective.
Qui aurait cru qu’il faudrait attendre 2025 pour ça ?
La Panique dans les Open Spaces (ou : Comment on Refait son CV en SEO)
Je passe mes journées en ce moment à recevoir des appels paniqués d’agences et de clients. Les conversations se ressemblent toutes :
Client : « Notre trafic a chuté de 60% depuis septembre. Qu’est-ce qu’on fait ? »
Moi : « Arrêtez de publier du contenu IA générique et commencez à produire du vrai contenu avec expertise. »
Client : « Oui mais ça coûte cher et on peut pas faire 50 articles par mois comme avant. »
Moi : « Justement. Faites 5 articles vraiment bons au lieu de 50 moyens. »
Client : « Mais alors on perd 90% de notre volume de contenu ! »
Moi : « Exact. Et vous gagnerez 200% de pertinence. »
Silence gêné au téléphone. Puis : « On peut pas juste optimiser ce qu’on a déjà ? »
Non. On ne peut pas. Parce qu’optimiser du vide, ça reste du vide. Même avec un joli chapeau.
L’industrie SEO traverse une crise existentielle. Des agences entières – dont le modèle reposait sur « on produit du volume optimisé » – sont en train de fermer ou pivoter. Les « content managers » qui coordonnaient des armées de rédacteurs low-cost ? Obsolètes. Les « SEO specialists » qui faisaient de l’optimisation technique sans jamais lire le contenu ? En reconversion.
Ce qui marche maintenant, c’est : expert + créateur de contenu + SEO. La sainte trinité. Vous devez comprendre le sujet, savoir l’expliquer de façon engageante, ET comprendre comment Google fonctionne.
Spoiler : ce profil-là, il est rare. Et il coûte cher. Beaucoup plus cher qu’un rédacteur freelance à 0,03€ le mot ou qu’un abonnement ChatGPT à 20$/mois.
Google Nous a Enfin Écoutés (Maintenant qu’il n’Avait Plus le Choix)
Le plus ironique dans cette histoire ? Nous – les bons consultants SEO, ceux qui prêchaient la qualité depuis toujours – on se retrouve dans la situation absurde de dire : « On vous l’avait dit. »
Sauf que personne ne nous écoutait. Parce que pendant qu’on expliquait qu’il fallait investir dans la qualité, nos concurrents livraient des audits SEO de 50 pages avec 347 recommandations techniques et promettaient « +150% de trafic en 6 mois ».
Devinez qui signait les contrats ?
Maintenant, la donne a changé. Les clients qui ont suivi les conseils « volume + technique » sont en crise. Ceux qui ont investi dans l’expertise et la qualité (oui, ils existent, quelques-uns) s’en sortent plutôt bien.
Est-ce que je suis content ? Oui.
Est-ce que j’ai envie de dire « Je vous l’avais dit » à tous ceux qui m’ont ignoré pendant dix ans ? Oh que oui.
Vais-je le faire ? Non. Parce que ce serait méchant. Et aussi parce qu’ils me paient maintenant pour réparer leurs dégâts, donc autant rester professionnel.
Et Maintenant ? (Spoiler : Ça va Faire Mal)
Le SEO n’est pas mort. C’est un cliché qu’on entend tous les deux ans depuis 2010. Non, le SEO n’est pas mort. Mais il a muté. Radicalement.
Ce qui va se passer dans les 18 prochains mois :
- Consolidation brutale : 60-70% des sites « contenu générique » vont disparaître ou devenir invisibles. Tant mieux.
- Réémergence des experts : Les vrais. Ceux qui ont 10-20 ans d’expérience et qu’on avait mis au placard parce que « trop chers ». Ils vont revenir. Et ils vont coûter encore plus cher.
- Fin des fermes de contenu : Les dernières grandes fermes (même celles qui ont « pivoté vers l’IA responsable », belle oxymore) vont mourir. Leur modèle économique ne tient plus. Produire du contenu de qualité avec expertise coûte 10x plus cher que générer du contenu IA.
- Changement de métrique : On arrêtera de mesurer le succès en « nombre de pages indexées » ou « volume de mots publiés ». On mesurera en impact, en engagement réel, en citations par d’autres sites experts.
- Retour du long terme : Plus de « résultats en 3 mois ». Construire une réputation d’expertise vérifiable prend des années. Les clients devront s’y faire. (Spoiler : ils ne vont pas aimer.)
Ce qu’on doit faire, nous, professionnels du contenu :
- Arrêter de produire pour produire : Un article par semaine avec vraie valeur vaut mieux que sept articles moyens.
- Assumer notre expertise : Signer de notre nom. Mettre notre tronche. Documenter notre parcours. Google vérifie.
- Raconter des histoires vraies : Les anecdotes, les cas pratiques, les erreurs commises et corrigées. Ce qui ne peut pas être généré par IA.
- Accepter qu’on ne peut pas couvrir tous les sujets : Mieux vaut être excellent sur 5 thématiques que moyen sur 50.
Conclusion : Le Jour où Google est Devenu Humain (ou a Fait Semblant)
Voilà donc où nous en sommes. Après quinze ans à nous supplier de produire « du contenu », Google vient de découvrir que le contenu sans âme, c’est du spam.
Bravo Google. Vraiment. Tu as compris en 2025 ce que les éditeurs savaient en 1850.
Mais bon, mieux vaut tard que jamais, comme on dit. Au moins, maintenant, les règles du jeu sont claires : si vous n’avez rien à dire, fermez-la. Si vous voulez juste reformuler ce que 500 sites ont déjà dit, économisez votre bande passante. Si vous n’êtes pas expert, ne faites pas semblant.
Le Web va probablement devenir plus petit. Moins de pages. Moins de sites. Mais – osons l’espoir – plus intéressant. Plus humain.
En attendant, moi, je vais devoir rappeler tous mes clients des cinq dernières années pour leur expliquer que oui, finalement, il va falloir embaucher de vrais experts pour écrire leur contenu. Et non, ChatGPT ne suffira pas. Et oui, ça va coûter cher.
Mais au moins, on arrêtera de polluer Internet avec des articles sur « comment faire bouillir de l’eau ».
C’est déjà ça.
[Chronique rédigée depuis mon bureau, entre deux appels de clients paniqués qui découvrent que « contenu de qualité » n’était pas juste un buzzword marketing. Pour actu-seo et Poush, parce qu’ici, on écrit avec notre cerveau depuis toujours – même si ça ne rapporte pas autant que le spam industriel.]

Lionel est un professionnel spécialisé dans l’optimisation des résultats de recherche d’un site internet. Grâce à ses connaissances et à l’utilisation d’outils efficaces, il élabore des stratégies de mots-clés, de liens, de contenu et de référencement local et vidéo afin d’améliorer la visibilité du site sur les moteurs de recherche. En tant que consultant SEO, il utilise également son expertise pour suivre les tendances et mettre en place des stratégies pour faire remonter un site internet dans les résultats de recherche










